samedi 18 juillet 2009

Le bio : bon ou mauvais ?

Le bio, c'est quoi en fait ?

Un label ! ou plutôt des labels, dans lesquels il est difficile de s'y retrouver.

Le plus connu d'entre eux est le label AB qui signifie Agriculture Biologique.
Il est certifié par l'organisme de contrôle et de certification ECOCERT lui-même agréé par les Ministères français de l'Agriculture et de la Pêche, de l'Economie des Finances et de l'Industrie. ECOCERT est implanté dans cinq autres pays européens et a des correspondants ou des bureaux dans une cinquantaine d'autres pays à travers le monde. Pour être labellisé AB, il faut respecter un cahier des charges précis.

Mais qu'est ce qui se cache derrière ce label et comment les producteurs sont-ils contrôlés ?

Ce qui est sûr c'est que des règles existent. Mais sont-elles respectées par tous ? Rien n'est moins sûr. Comme pour tout, il y a des producteurs moins scrupuleux que d'autres mais dans l'ensemble il respectent les règles du label.

Mais les produits sont-ils plus sains ? Le bio ne veut pas dire sans pesticides, produits phyto-sanitaires ou médicaments. Seulement il en réglemente l'utilisation. Seuls certains produits sont autorisés et à certaines doses.

Donc il ne faut pas croire que bio = naturel.

Mais le bio à des vertues mais ce n'est sans doute pas la panacée.

Le plus important c'est de faire attention à ce que l'on mange. Eviter les produits préparés et préférer les produits frais.

Il est bien connus que les plus gros utilisateurs de produits chimiques sont les jardiniers du dimanches qui ne savent pas les doser.
Ces produits là sont peut-être les moins bons à consommer et ils ne sont ni bio ni naturels ...

JPO

lundi 15 juin 2009

Omega 3, 6, 9, 12... : bon ou mauvais ?

Notre sédentarité dans la vie et notre travail, la société de consommation basé sur le plaisir sont notre quotidien.



A côté de cela, les signes d'une culpabilisation nous invite à rechercher des compléments alimentaires contrebalançant les excès d'une vie qui n'est pas faite pour nous : humains programmés pour la vie nomade et rude.



L'évolution de la société occidentale depuis les 40 dernières années qui a vu le développements de la mécanisation sensé nous facilité la vie nous a transformé (pour une partie d'entre nous).



Aujourd'"hui notre organisme absorbe plus d'énergie qu'il en consomme. or il ne sait pas dépensé l'exedant d'énergie mais le stock sous forme de graisse. Cette graisse par le jeu des métabolisme du corps se retrouve en excès dans notre système sanguin qui ne l'élimine pas ou mal : d'ou l'artérosclérose, le diabète et des taux de cholestérol excessifs.





Ces phénomènes qui sont gérable par l'organisme à des niveaux modérés peuvent devenir irréversibles si l'on n'y prend pas garde.



Quelle est la solution ? de deux chose l'une :


  • éviter un apport énergétique trop important si l'on est sédentaire

  • avoir une activité physique suffisante pour consommé le trop plein d'énergie.

Et les Oméga 3, 6, 9, 12....


Tout d'abors les oméga 3 et 6 : acides gras essentiels, l'organisme ne sait pas les fabriquer mais en a besoin pour bien fonctionner. On les trouve dans les huiles végétales et les poissons (entre autre).


Ces acides gras polyinsaturés (de type oméga-3 et oméga-6) participent à une foule de processus importants : la constitution et l'intégrité des membranes cellulaires, le bon fonctionnement des systèmes cardiovasculaire, cérébral, hormonal et inflammatoire, etc.


La consommation et l’absorption d’oméga-3 et d’oméga-6 permet donc au corps de fabriquer des substances primordiales pour son bon fonctionnement.


A-t-on besoin d'en consommer plus ?

Non une nourriture équilibrée en apporte la teneur nécessaire.

Oui, si l'on se prive d'aliment qui en procure. Alors on peut aussi compléter son alimentation par des margarines enrichie en Oméga.



Mais franchement le poisson c'est bien meilleur pour la santé et l'équilibre alimentaire !



Qui plus est, il faut plus de 90 grammes de margarine enrichie en oméga 3 pour couvrir les besoins journaliers.



Ce ne serait pas très raisonnable !!!!



Ce que vous gagnerez d'un côté, vous le perdrez de l'autre.

Alors que 2 cuillères d'huile de colza permet de couvrir l'essentiel des besoins journalier.



La margarine enrichie contient bien des omega 3 et 6. De ce fait, elle participe au bon foncitonnement cardio-vasculaire, mais surtout, elle est moins grasse que le beurre ou l'huile donc moins énergétique et c'est peut être là qu'est tout son intérêt (et peut-être le seul, sauf de remplir les poches des industriels qui la fabrique...).



Qui plus est, leur effets sont aujourd'hui remis en question.



Et les omega 9 et 12 : C'est pareil !!!!!!!



L'omega-9 c'est 74% de l'huile d'olive.... mais surtout, on le retrouve partout, graisses végétales et animales alors inutil d'en ajouter !

Et l'omega-12 n'existe pas ...................encore.

Mais croyez en l'imagination des industriels qui vous veulent du bien (et à leur porte monaie), elle est sans limite.

En fait et pour faire simple et de bon goût, rechercher à équlibrer votre alimentation.

Préférez l'Omega-3 un point c'est tout, les autres y'en a partout et surtout de trop.

JPO

dimanche 1 mars 2009

lampe basse consommation : bon ou mauvais ?

On nous rabat les oreilles sur l'intérêt d'utiliser les lampes basse consommation et bientôt les lampes à incandescence vont disparaître.

Mais ces fameuses lampes, sont-elles bonnes ou mauvaises ?

Et bien si en terme de consommation d'énergie il n'y a pas de doute, pour le reste, rien n'est moins sûr !

Pour les lampes fluo compact, on distingue 3 dangers potentiels :
  1. Leur recyclage, de par les composants électroniques et le mercure qu'elles comportent;
  2. L'effet stroboscopique qu'elles génèrent;
  3. Les rayonnements radioélectriques importants qu'elles émettent.

En effet :

  • elle comporte du mercure qui depuis des années est considéré comme un des plus important polluant terrestre et qu'il ne faut pas laisser traîner dans la nature,
  • elle génère un champ électromagnétique digne de ceux des GMS dont on parle tant en ce moment.

Vous trouverez sur les trois site suivant des infos sur les dangers des lampes fluo-compactes :

- OPI LIVE

- eco-sapiens

- Hollistique concept

De plus, on ne peut pas dire que toutes ces lampes soient d'une super commodité car bien souvent, il faut plusieurs minutes pour qu'elles donnent toute leur puissance d'éclairage.

Enfin, voici un article publié sur le site FIGARO-VERT qui est très documenté sur les avantages et inconvénients de ces lampes.

Alors les lampes basse consommation : bonnes ou mauvaises ?

JPO

samedi 7 février 2009

Panneaux électriques photovoltaïques : bon ou mauvais ?

A l'heure du Grenelle de l'environnement, on peut se poser la question de savoir s'il est opportun d'installer chez soi sa propre centrale de production d'électricité.

Parmi les options possibles, il y a les panneaux solaires photovoltaïques.

Si aujourd'hui, le coût de rachat du kW par EDF (imposé par l'état) est plus élevé qui le coût de production (en intégrant l'amortissement du coût d'investissement), on peut se poser sérieusement la question de savoir combien de temps cela va durer.

Je vous invite, pour faire le point sur ce sujet, à consulter les sites suivants :


Cette liste n'est pas exhaustive car il y a de nombreux sites qui ventes les mérites de la production de l'énergie électrique à partir des panneaux photovoltaïques.


Seulement, si demain le coût de rachat du kW venait à baisser, où serait l'intérêt de produire son électricité, pour la revendre ensuite, car il ne faut pas oublier que la production individuelle d'électricité n'a pas pour but d'alimenter son propre logement.


Cela ne suffirait pas et, aujourd'hui, c'est interdit sauf si la distribution d'électricité n'est pas possible par un distributeur officiellement reconnu.


Un autre aspect ne doit pas être oublié, quel est l'impact environnemental de la fabrication des panneaux solaires ?


Si l'on considère le bilan énergétique, il faut entre 2 à 5 ans pour que celui-ci soit positif. (cf outilssolaires.com)


Comme la durée de vie d'un panneau solaire photovoltaïque et compris entre 15 et 30 ans, on peut considérer que, de ce point de vue, le bilan environnemental est plus que positif.


Seulement, la seule fabrication des cellule photovoltaïque n'est pas sans conséquence sur l'environnement, simplement si l'on considère leur procédé de fabrication qui nécessite par exemple emploi de chlorure de phosphoryle POCl3 qui est un produit chimique très polluant.



Voici, par exemple, la composition chimique d'une cellule photovoltaïque :


On peut constater, que l'impact environnemental de la fabrication d'une cellule n'est pas du tout chimiquement nulle !

Une étude très poussée sur "l'Analyse du cycle de vie des systèmes photovoltaiques" permet de rendre compte des dangers écologiques de la fabrication de ces cellules.

La conclusion de l'étude est la suivante :

En conclusion, les systèmes photovoltaiques permettent globalement une reduction des impacts
environnementaux, et il faut espérer que l'amelioration des procédés de fabrication, ainsi qu'une
production en grande serie faciliteront la mise en oeuvre de solutions plus efficaces pour le recyclage et/ou le traitement des déchets produits, ainsi que le confinement de certaines substances émises actuellement dans l'atmosphere et contribuant au phénomène de "smog".

Alors la production d'énergie électrique par les panneaux solaires photovoltaïques : c'est bon ou mauvais ?

JPO

mercredi 21 janvier 2009

Economié de marché : bonne ou mauvaise ?

Franchement, c'est à ne plus rien y comprendre !
Mise au nues il y a quelques années, la voila sifflée, huée, caillassée aujourd'hui.

Pourquoi tant de sautes d'humeur pour un principe qui n'est autre que le fonctionnement séculaire ou plutôt millénaire de notre vie en société depuis que l'homme a cessé de se nourrir par la cuillette et la chasse en petits groupes.

L'économie de marché n'est autre que le système d'échange qui a remplacé le troc des premières cités antiques constituées et qui permet à ceux qui n'ont pas de moyens de subsistance, d'en acquérir.

Bien sûr depuis Babylone, elle s'est pauffinée et sophistiquée au point qu'aujourd'hui certains l'utilisent uniquement pour créer de la richesse financière qui rendent exhangue l'économie réelle qui n'est autre que la vie ou survie des gens constituants la société elle-même.

Cette perversion conduit à ce qu'aujourd'hui beaucoup d'entres nous souhaitent qu'une régulation des systèmes financiers redonne tout son sens à ce modèle économique et permettent à ceux qui n'en ont pas de recouvrer les moyens de subsistance qu'ils ont perdu.

Il n'en a pas toujours été ainsi et plus particulièrement au début des années 1980 (avec le trio Thatcher, Reagan, Khol) où le monde en pleine croissance pensait que la planète finance pouvait s'autorégulé et entraîne l'ensemble du monde avec elle dans un monde néo-libéral.

Il faut bien reconnaître aujourd'hui, que cet idée était bien présompteuse.

Mais, il existe désormais un consensus parmi les économistes sur la supériorité de l'économie de marché pour obtenir une aussi efficace que possible allocation des ressources.

Ce qui s'impose à nous c'est principalement que l'économie de marché n'est pas ce qui est en cause, mais les abus qu'elle permet lorsque certains hommes la détourne à leur seul intérêt.

C'est ce qui à conduit aux plus terribles crises et conflits qui jalonnent l'histoire de l'humanité, de l'antiquité à nos jours.

La plupart des systèmes économiques alternatifs théorisés et pour certains mis en pratique (collectivisme, capitalisme, libéralisme...) ne sont rien d'autre que des modèles qui ont vocation à faire pencher la balance économique dans un sens ou un autre.
Souvent, cela conduit malheureusement à ce qui le pouvoir économique qui été concentré dans quelques mains, se retrouve concentré dans d'autres mains, mais ne résoud pas le problème pour la grande majorité de l'humanité.

Mais alors, l'économie de marché, c'est bon ou mauvais ?

JPO